• A défaut de cheval, Salomé se trouve d'autres montures !

    Le plus grand livre slovaque...

    Un restaurant pas comme les autres....

    Nous cherchions un magasin de chaussures...

    Une petite tasse de thé ?

    A l'institut français de Tallinn...

    No comment !

    J'ai enfin trouvé mon archet !

    Au cas ou cet arbre prendrait un coup de froid !

    Hé oui, nous savons que nous pouvons encadrer nos filles !

    Pascal avec le tricot du Père Noël !

    Insolite mais très énervant !

    Le ciel ? Non c'est le plafond du centre commercial de Rovaniemi en Laponie !

     

     

     

     


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  • God dag à tous !

    Cela fait bien longtemps que nous ne sommes pas venus mettre le nez dans ce blog ! Et pour cause : les connexions sont très rares et la nature très vaste !

    Si nos souvenirs sont bons nous nous étions quittés à Helsinki la belle capitale finlandaise.

     Nous l'avons visité sous un temps radieux, offrant un ciel bleu azur en Scandinavie. Elle s'étend le long de la mer, s'octroyant quelques îles alentours. C'est une capitale assez "nature" avec bon nombre de beaux parcs. L'architecture tient une place paticuliere avec les bâtiments modernes dessinés par Alvar Aalto se mêlant habilement à de grandes places construites sur le modèle russe. De la très belle cathédrale orthodoxe Uspensky, au monument Sibélius (grand compositeur finlandais) en passant par le temple de la musique, les fontaines, les musiciens, la langue finnoise qui nous rappelle bien sûr le hongrois, nous avons savouré la ville avant de nous lancer dans les grands espaces de la nature.

     

     

     

     

     

     A une cinquantaine de kilomètres de Helsinki, se niche un joli petit village nommé Porvoo. C'est là que Jojo aura enfin droit à sa vidange, les Fiat professionnels ne se trouvant pas partout.

    La route que nous empruntons monte maintenant vers le Nord. Le pays est sans relief mais des panneaux nous indiquent un peu partout toutes sortes de pistes de ski ! Hé oui nous croisons même des skieurs d'été. Il manque la neige alors ils chaussent des skis sur roulettes et arpentent des kilomètres le long des routes. La Finlande est trouée de toutes parts, c'est un véritable gruyère de lacs et de rivières. Il y a de l'eau partout. Les lacs sont magnifiques, tous bordés de grands sapins et de bouleaux argentés. Des maisons de pêcheurs viennent parfaire ces grandes étendues d'eau. C'est vraiment beau à voir.

    L'une des spécialités finlandaises est sans contestation le sauna. Il règne en maître un peu partout. Dans les immeubles, dans les campings, dans les maisons particulières, au bord des lacs, en plein milieu des forêts.

     Une autre spécialité est le moustique ! On le trouve sous toutes ses formes : petit, moyen, très gros, en train voleter, en train de piquer, sonné par trop de sang, écrabouillé par une main habile ou encore pris au piège dans une moustiquaire !

    Nous nous faisons de belles randonnées dans les parcs nationaux, empruntant pour l'une d'elles le chemin de l'Ours. Hé oui encore lui ! Mais il se cache encore. On croise un finlandais qui nous montre des photos d'ours à faire pâlir des bisons mais il les a prises depuis un observatoire après s'être acquitté d'un droit d'entrée exorbitant. En sage finlandais il nous dit qu'il est vraiment difficile de les voir en pleine nature sans les amadouer mais que eux, ils nous voient. On se dit que peut être ils nous ont salué alors que nous avions le dos tourné ! Mais sur ce chemin de randonnée on croise nos premier rennes que Salomé parvient même à caresser. Nous ne sommes alors qu'à une vingtaine de kilomètres de la frontière russe...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    En route on croise des rennes qui sont ici chez eux. Il y a à cette période beaucoup de petits avec leurs mères. Les femelles n'ont que des petits bois. Mais les mâles ne sont en général pas bien loin. Ils ont eux les grands bois que l'on connait. Nous restons très prudent sur les routes car les rennes ne préviennent, ni ne regardent avant de traverser.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     En repartant du Parc National d'Oulanka, nous franchissons le cercle polaire ! Nous voici en Laponie au pays du soleil de minuit.

     

     

     

     

     

     

     

     

    On oblique vers l'Ouest et gagnons le village du Père Noël ! Ah le tourisme ! Il n’empêche que nous le rencontrons en chair et en os et que règne ici une ambiance marché de Noël en plein mois de juillet.

     

     La ville de Rovaniemi qui se trouve à quelques kilomètres de là ne nous enchante pas. Ville entièrement rasée après la seconde guerre mondiale, elle a été reconstruite sur des plans dessinés parAlvar Aalto, représentant des bois de renne. Mais les bâtiments sont tristes et peu engageants.

     

    La Finlande possède l'une des seules mines d'Améthyste d'Europe. Ils disent la seule mais ne pouvant vérifier nous ne préférons pas l'affirmer ! Nous la visitons après une heure de marche, découvrons les quartz et les améthystes. Elles sont petites et ne se développent pas à l'intérieur d'une pierre fermée, elles croissent au contraire à l'éxtérieur de la roche, progressant d'un centimètre en mille ans ! Nous creusons à notre tour le sol de la mine et trouvons chacun notre pierre, si petite soit elle, elle nous portera chance !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une dernière étape finlandaise nous mène à Inari, capitale des sames (les lapons) qui compte bien ...20 maisons ! Nous nous offrons une journée de tout petit bateau à moteur sur l'immense lac d'Anarjavri. Tour à tour Maïra et Salomé prennent les commande de notre embarcation. Salomé va le plus vite possible et semble emportée. Ambiance garantie ! Le soir nous profitons du soleil de minuit. C'est un spectacle incroyable.

    Il est minuit !

     

     

     

     

     

    Il est minuit, le soleil n'ira pas plus bas, il remontera en un "V" majestueux !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Aux confins d'une toute petite route, nous passons la frontière avec la Norvège, mais nous restons en Laponie ! Ce soir nous serons au cap Nord !

    Ces panneaux sont présents un peu partout, aussi bien en Finlande qu'en Norvège et ils ne sont pas là pour rien !

     

     

     

     

     

     

    On atteint la mer des Barents au niveau de Lakselv. On y croise de rennes au bord de l'eau, cela fait un peu une image de carte postale.

    C'est simple à partir de maintenant il n'y plus qu'une route ! La région est montagneuse. Des petits villages de pêcheurs se dessinent en rouge et bleu dans de minuscules criques. On s'enfonce dans les tunnels qui traversent la roche et retrouvons la pénombre perdue depuis des semaines. Le plus grand d'entre eux nous conduit sous la mer et rejoint l'île de Mageroya, la plus au Nord de l'Europe. Le paysage change; plus un arbre, plus uen fleur. Tout devient aride et désolé. La nature a eu raison de l'homme. Et nous voilà au Cap Nord, au bout du bout du continent européen. La mer s'étent désormais jusqu'au Pôle Nord sur 2000 kilomètres. On est d'ailleurs plus près de ce Pôle que de la capitale norvégienne !

     

     

     

     

     

     

     

     

           Une douce impression d'être au bout du monde nous envahi.

     

     

     

     

     

     

    Des nuages viennent obstruer le soleil que nous ne verrons pas danser sur l'horizon du Cap Nord, mais nous l'avions vu à Inari.

    Comme nous avons touché le bout de l'Europe, nous avons droit au déferlement des éléments. Le vent souffle comme jamais, un brouillard s'installe et nous voilà perdu dans un voile opaque tempétueux et froid. C'est aussi cela le cap Nord !

     Nous posons nos yeux sur la carte de la Norvège... petit vertige en voyant les distances ! La seule route de cette région est la E6, facile ! Nous la prenons désormais en direction du Sud avec bien entendu quelques crochets par des petits villages ou des petites criques.

    La Norvège est un pays de superlatifs ! Les paysages sont TRES beaux, le pays est TRES long, TRES peu large à certains endroits (6 kilomètre à la hauteur de Narvik!), la nature est TRES présente, l'anglais TRES bien parlé et la vie TRES TRES chere !

    Même si les kilomètres sont nombreux, la route est tellement belle qu'elle passe toute seule. Les montagnes tombent à pic dans les eaux bleues turquoises de la mer. Des nevés coiffent les cimes et offrent un peu de fraicheur aux sabots des rennes. Ce sont des paysages incroyables.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nous bifurquons à hauteur des îles Lofoten pour en arpenter ses paysages et s'initier à l'art de la pêche ! Salomé a reçu avec un peu d'avance une magnifique canne à pêche. Un premier gros poisson et nous voilà sur la bonne voie ! Bon d'accord c'est un maquereau mais il fait bien 40cm et pèse 3 bons kg. Il finira bien grillé sur notre petit barbecue. Le rêve reste un saumon sauvage...

    Nous avons rencontré des gens bien sympathiques et toujours prêts à offrir un lopin de leurs terres pour y dormir ou un code wifi pour les impératifs du CNED ! On nous offre même du bois pour faire un feu. Jojo adore ce genre de cadeaux !

    Dans ces contrées sauvages, ce n'est pas si évident de se poser car il y a très peu d'accès. Mais les endroits trouvés sont en général superbes. Les températures nous surprennent, nous pensions trouver du froid mais il fait parfois 30 bons degrés ! Le soleil joue un peu à cache cache mais il ne nous laisse jamais seuls une journée !

    Ces derniers temps notre route a croisé bon nombres d'animaux : des rennes bien entendu, des élans trapus et plus sauvages, des marsoins si difficiles à prendre en photo, des aigles des mers majestueux dans leur vol, des oiseaux en tout genre, des moutons si laineux qu'on en ferait bien des pulls. En voici quelques uns :

     

     

     

     

     

    Nous quittons les Lofoten en prenant le Ferry jusqu'à Bodo dans des paysages toujours plus somptueux.

     Ha det et à bientôt pour la suite de la Norvège. On pense bien à vous.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  •  Hyvää päivää,

    Nous avons donc assisté à un grand moment de notre vie au festival de Tallinn.

     Deux jours hors du commun. Ce festival a lieu tous les cinq ans. Il fut crée en 1869 sous l'occupation russe. Plusieurs fois interdit il a pourtant traversé le temps. Il est à lui tout seul le symbole de tout un pays. Il est l'unité même d'un peuple qui a souffert des différentes occupations et qui a voulu revendiquer sa patrie. C'est par le chant que les estoniens ont acquis leur liberté en chantant pendant une semaine sans quitter les lieux. Les soviétiques ne savaient plus comment réagir... La première édition comptait environ mille chanteurs, la deuxième en rassemblait déjà dix fois plus, aujourd'hui c'est plus de 37000 chanteurs qui se rassemblent. Un stadium a été spécialement construit pour accueillir les chanteurs : les Prés du Festival de la Chanson. Toutes les générations se confondent et se lient à travers le chant.

     Ici tous les enfants chantent dans une chorale dès l'âge de 5 ans. Ils viennent de toute l'Estonie en ayant travaillé et préparé des chants. Alors forcément lorsqu'ils sont 20.000 à gravir les marches du stadium, 20.000 à trouver leur place, 20.000 à fixer les mains et l'immense sourire du chef de chœur, 20.000 à prendre leur inspiration, 20..000 à mettre tout leur cœur, la centaine de milliers de spectateurs marquent un silence, retiennent leur souffle se laissent joyeusement envahir par cette vague de beautés et d'émotions.

    Des chœurs d'adolescents, des chœurs d'adultes, tous montent sur les marchent, se tournent vers le public et offrent leur travail. Le répertoire compte des œuvres traditionnelles qui ont été réécrites pour chœurs, des œuvres du célèbre compositeur estonien Arvo Paert, des œuvres composées spécialement pour le festival et des chants incontournables comme "Ma Patrie" dont le texte vient d'une poète estonienne et porte sur la foi dans cette terre et dans ses habitants. C'est devenu une sorte d’hymne. Bon nombre de ces chants incontournables sont repris par l'ensemble du public. C'est tout simplement impressionnant. Des drapeaux flottent au vent. Chacun est fier et revendique son pays. On pourrait penser que c'est vraiment du patriotisme poussé mais ce serait mal connaitre les estoniens. Ils sont en effet d'une grande ouverture sur le monde et parlent tous couramment l'anglais, très souvent le russe, souvent le français et l'allemand.

     Pendant ces deux jours on s'est sentis estoniens, enthousiastes et tellement touchés. Un jour viendra où on y participera....

    La veille du concert les chanteurs arrivent au stadium en un grand défilé joyeux et plein de vie. Les costument traditionnels sont magnifiques. La plupart des filles portent une couronne de fleurs fraîchement tressée.

     

     

     

    Chaque région a son costume,

    chaque ville, chaque village,

    chaque école, chaque association...

     

     

     

     

     

     

    Au début du festival une flamme est allumée accompagnée d'un chant.

    Elle sera éteinte le dimanche soir après le dernier chant.

     

     

     

     

     

    Le drapeau est partout ! Des bonnets, aux timbres !

     

     

     

     

     

    Bien entendu nous aussi visité Tallinn. Capitale la plus vieille d'Europe, elle vaut vraiment le coup.

    Dans chaque pays nous trouvons des inscriptions sur les routes....ici il faut faire attention aux élans !

    Avant d'arriver à Tallinn, nous avions fait étape à Tartu, deuxième ville du pays qui fut le berceau de la révolution des années 1860. C'est aujourd'hui une ville paisible, mignonne qui abrite l'une des plus grandes universités du pays. Voici la jolie fontaine qui trône en plein cœur de la ville. 

     Notre séjour estonien s'est achevé par une étape tranquille de plusieurs jours dans un parc national où nous nous sommes posés en plein cœur d'une forêt et avons pris le temps de peindre, de faire de la musique, de rêver, de faire la récolte des girolles, de baies en tout genre, de sortir le hamac et bien sûr de continuer l'école ! (les pauvres!)

    De la récolte à l'assiette : la gloire du Dalaïpapa !

     

     

     

     

     

     La première sortie du hamac !

    Après une traversée en ferry entre Tallinn et Helsinki, nous sommes désormais en Scandinavie. Le soleil ne nous a pas quitté depuis dix jours et nous espérons l'emporter avec nous dans le grand Nord ! Les journées sont très longues, les nuits très courtes, le soleil ne se couche que pour quelques toutes petites heures. Nous avons ce chouette phénomène depuis les pays Baltes et bien entendu progressivement nous allons vers le soleil de minuit !

    Les connexions libres sont difficiles à trouver de plus nous allons en pleine nature alors on ne sait pas vraiment quand nous mettrons le blog à jour. Si pas de nouvelles : bonnes nouvelles !

    Petite photo de notre colo musique en pleine forêt !

    Bon été à tous !

     

     

     

     

     


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    Tere,

     C'est un bonjour estonien que nous vous transmetons !

    Mais revenons dans le voisin balte un peu au Sud : la Lettonie.

     Nous avons passé une semaine dans ce joli pays. On avait presque l'impression d'être en Russie en entendant parler les gens. Certains châteaux ont d'ailleurs été construit sur des modèles russes, c'est le cas de celui de Pilsrundäle près de Bauska. Ce fut une très chouette étape avec un temps qui nous faisait penser aux bonnes giboulées de mars avec un peu plus de chaleur tout de même. Ce château imposant et sans trop de charme possède un magnifique jardin à la française. Tirées au carré et parfaitement symétriques les allées sont bordées de fleurs et de plantes de toutes sortes. Le château est aussi très connu pour sa très belle roseraie qui embaume à des kilomètres à la ronde. Mais là encore ce ne sont que des espèces françaises !

     

    Maïra et Salomé la tête dans le ciel sur les balançoires royales !

     

     

     

     

    On décide de se faire une virée au cap Kolka. Vous voyez tous où il se trouve ? !

    Nous approchons pour la première fois la mer baltique. L’occasion de chacun faire un vœux...

    L'eau n'est pas si froide que cela mais le vent est de la partie et nous n'envions pas vraiment les quelques très rares baigneurs lettons qui doivent certainement se dire que s'ils ne se baignent pas à cette période, il y a peu de chance qu'ils le fassent dans l'année ! Nous retrouvons de sympathiques bivouacs près de la mer. On découvre la flore et la faune de ces rives baltiques. Beaucoup de grands oiseaux, des pins à perte de vue, un sol très sableux, du lichen qui pousse à même le sol, des fraises des bois à foison, des myrtilles et des girolles. Bien entendu le tout sur des hectares sans une colline.

     

     

     

     

     

     

     Riga, la capitale du pays, nous convient tout à fait : A taille humaine, elle recèle de très belles places, des monuments bien conservés, des façades de toutes les époques. Nous découvrons la très belle "maison des têtes noires" qui abrita durant des siècles les marchants de la hanse. Elle a été entièrement détruite en 1945 et refaite à l’identique en 47. Alors forcément elle brille un peu plus mais elle a certainement perdu un peu de son âme. C'est aussi sur cette place que fut décoré le tout premier sapin de Noël d'Europe.

    Un peu en dehors du centre ville, se dresse l'un des plus grands marchés européens. Cinq halls immenses abritent des milliers d'étalages de poissons, de légumes, de viande, mais surtout de poissons ! Du poisson séché, des saumons énormes et d'une couleurs vraiment saumon, des bonbons de poissons, bref nous avons bien compris que ces denrées vont désormais faire partie de nos menus !

    Et notre musique dans tout cela ? Et bien nous vous l'avions dit, les vacances ont sonné dans toute l'Europe alors pour nous c'est nettement plus difficile de trouver des groupes d'enfants pour partager la musique. Mais là encore les gens sont d'une gentillesse extrême et d'un grand intérêt pour notre projet. Après avoir frappé à différentes portes dont celle du conservatoire de musique où le directeur était très enthousiaste pour le projet mais ne trouvait comment organiser cela au milieu d'un master classe de musique contemporaine, nous en parlons avec les hôtesse du château de Turaida à Segulda. L'idée leur plaît mais trouver un groupe d'enfants en cette période n'est pas aisée. Mais elles nous servent de la musique lettonne sur un plateau d'argent. Nous avons en effet la chance d'avoir une musicienne pour nous tout seuls, dans l'une des salles du château ! Elle nous interprète des chants traditionnels en s'accompagnant avec une sorte de petite cithare. Les lettons sont très proches de la nature et tous leurs chants traditionnels parlent du lien aux éléments. A l'occasion du solstice d'été une grande fête est organisée avec au centre des chants sans accompagnements. La voix, portée vers la nature. Ce n'est pas pour rien qu'on les appelle "le peuple qui chante". Un répertoire de près de 2 millions de chants....

    En plus de toutes ces explications, ces chants et cette gentillesse, la visite du château, de son parc absolument superbe et de ses musées nous est offerte. Nous n'avons pas nos instruments sur nous alors c'est par un chant à trois voix que nous les remercions.

    Un très grand merci Anda et à la directrice des guides du château.

     

     

     

     

     

     

    Château et parc vraiment beaux et intéressants à visiter. C'est très bien retapé et les musées sont bien faits.

     

     

     

     Ils nous organisent un petit concert dans un "jardins d'enfants" où les petites oreilles écoutent pour la première fois ces instruments. C'est un chouette moment passé en musique auprès des touts petits même s'ils étaient un peu trop pitchoun pour chanter notre chanson sur leur pays en français. Mais le tout s'est transformé en jeux musicaux internationaux !

    La Lettonie nous a bien plu, nous nous doutons que Jojo en garde un bien moins bon souvenir compte tenu de l'état des routes ! C'est également valable pour la Lituanie. Des routes très mauvaises, recollées de partout, en travaux partout mais pour un résultat tout aussi aléatoire.

    L'avantage d'avoir un peu de pluie à cette période c'est que nous profitons de très beaux arcs en ciel !

     

    Nous voilà donc une frontière plus loin, en Estonie, le derniers de ces trois frères baltes qui se ressemblent un peu mais aiment avoir chacun leur identité bien propre.

     

    Nous sommes au festival de chant et de danses de Tallinn. C'est absolument magnifique et génial. Nous vous raconterons cela au prochain épisode.

    A bientôt.

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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