• Bonjour !

     

    Nous avions prévu la fin juin

    Pour revenir de notre rêve

    Notre voyage touche à sa fin

    Mais pas question qu'il ne s'achève !

     

    Le vent souffle sur la Camargue

    Une école y verra le jour

    Oublions ce temps qui nous nargue

    Afin qu'elle s'ancre pour toujours.

     

    Après une dose de réflexion

    Une piqure de folie

    Nous avons pris la décision

    Dans la sagesse d'une symphonie !

     

    L’Europe nous guide sur ses chemins

    Trente trois pays en camping car

    On ne rentrera pas demain

    Mais dans un an avec fanfare !

     

    pamasama


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    Grüss Got !

     

    Nous revoici en Autriche, mais pas du même côté !

    Mais d'un coup d'aile revenons donc vers Budapest où nous nous étions quittés.

     

    Nous sommes restés une semaine dans cette belle capitale au bord du Danube. C'était une semaine un peu particulière....Maïra et Salomé ont repris le chemin de l'école...en hongrois !

     

    L'école Steiner se situe sur un ancien terrain militaire appartenant à l'armée soviétique. Décors particulier mais école très chaleureuse et joyeuse. Maïra a rejoint les élèves de septième classe. Pour elle les conversations étaient en anglais et en gestes; respect ! Salomé a retrouvé des élèves de de quatrième classe avec une gentille interprète de nom de Lea. Trouver une copine franco hongroise dans cette grande classe était un super cadeau pour Salomé.

     

    Salomé et Lea

     

     

     

     

     

    Lili, Daria, Tünde, Zita et Maïra !

     

     

    Elles présentent toutes les deux la France sous la forme d'un exposé préparé à l'école du camping car !

    Maïra devant la septième puis la huitième, Salomé devant la troisième et la quatrième !

     

     

    Maïra

     

     

                   Salomé

     

     

    La semaine a été ponctué de trois petits concerts très chaleureux et de beaucoup de partage de musique. Quelques interventions dans des cours de français pour y faire de la musique, du français, des cris d'animaux. C'est quand même très chouette l'enseignement! Un cours de danses folkloriques, un très beau poème en hongrois, des chansons, du cytar, un repas au camping car, une petite pièce e français sont autant de cadeaux qui nous ont été faits.

     Nous remercions du fond du cœur Krisztina et Gloria, les deux professeurs de français qui nous ont si bien accueilli, Emöke et Monica qui ont pris grand soin de nos grandes nomades.

    Comme d'habitude quand nous sommes dans une école, nous ne pouvons jouer et prendre des photos! Place donc à votre imagination!

     Le jeudi Maïra a fêté ses 13 ans ! Ce n'est pas rien d'avoir son anniversaire en nomade. Un joyeux anniversaire en hongrois, un merveilleux gâteau offert par Gloria, deux classes réjouis par ces treize années fêtées en Hongrie. Des petits mots postés de France, des colis, des cadeaux et une surprise téléphonique avec la très bonne amie de toujours vinrent couronner un après midi de bains turcs. Merci à tous pour elle !

     

     

     

    Le lendemain, c'est une autre école Steiner qui nous attend. Plus petite mais tout aussi accueillante. Un après midi cheval, (Salomé jubile!) et une soirée dans la famille très choeutte de Lea.

     

    Et Budapest alors ?

     

    Nous avons parcouru la ville chaque après midi car ici l'école se termine à deux heure et demi !

     De très beaux édifices, des bains chauds où l'on joue encore aux échecs malgré la horde de touristes, un Danube beau, tumultueux à ses heures et gardien des deux rives de Buda et Pest.

     

     

     

    La Synagogue                L'église Mathias         Un violoniste !            Les échecs dans l'eau chaude !

    Nous mettons les voiles vers le lac Balaton. Nous l'avions imaginé, rêvé....mais comme dit si sagement Salomé," il vaut mieux ne pas s'attendre à quelque chose pour ne pas être déçu ! "

     Déçu, oui on l'a été un peu. Un très grand lac, le plus grand d'Europe, plus grand que le beau Léman. On ne s'y pose pas facilement. Ses abords sont souvent gardés sous forme de plages payantes et très "installées". Seule la presque île de Tihany nous a gentillement accueilli. Mais tout de même sur une sorte de petit parking. Mais rien ne nous arrête, nous sortons les vélos pour profiter du tour du lac ! Mais c'était sans compter sur la boue, nos roues ne tournaient même plus ! Après la boue collante, il ne manquait que la pluie pour que nous soyons de retour en bon état ! 

    Donc belles ballades et chouettes découvertes de nids de serpents !

     

    A cette période encore peu touristique, le lac est peuplé de toutes sortes d'animaux dont beaucoup d'oiseaux. Nous avons pu les observé de près.

     

     

     

     

     

     

    Nous pensions trouver un lac un peu plus sauvage près de Sopron mais là encore c'est bien aménagé. Tant pis nous explorons les parages et trouvons un endroit très joli au milieu des roseaux et sous la pluie!

     

    Après deux semaines en Hongrie, nous passons la frontière et valsons en direction de Vienne.

    Avant de vous laisser, nous sommes très fiers de vous montrer un joli article paru dans le journal de Cappadoce. Que de beaux souvenirs pour nous.

     

    A très bientôt pour Vienne.

     

     

     

     


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  • Jo napot kivanok !

    C'est un bonjour hongrois que nous vous envoyons !

    La Roumanie est donc derrière nous. Nous y avons passé 10 jours magnifiques. C'est un pays vraiment très beau tant sur le plan géographique, que humain.

    Nous en étions restés au train à vapeur....C'est dans la vallée de la Vaser que le train s'enfonce de toute la force de sa vapeur. Une vallée très peu habitée mais peuplée d'arbres majestueux. Le train fonctionne  avec du bois et s'ébranle au son de sa sirène que tous les enfants imitent lorsqu'ils jouent au train

     

    Alors bien entendu nous n'allons pas à la vitesse du TGV; c'est du 7km/h en moyenne avec des pauses au bord de la rivière pour remplir d'eau la grosse locomotive.

     

     

    Outre ses rencontres très belles, ses bivouacs insolites, ses paysages somptueux, ses traditions si belles et tellement ancrées, la Roumanie nous a plongé dans l'univers du bois.

    Il y a du bois partout et en particulier dans la région de Maramures au Nord du pays. Ici tout est fait en bois. Dans un temps reculé les maisons étaient faites en chêne, mais pour des raisons de rentabilités, tout se fait maintenant en pin. Les forêts sont mises à contribution mais systématiquement replantées. Les troncs sont traités au plus proche de leur lieu de coupe. C'est pourquoi on croise des scieries un peu partout. Le travail du bois reste très "artisanal". Le bois en dans un premier temps arrosé très régulièrement ou stocké au bord de la rivière. Puis il est coupé à la hache pour le bois de chauffe et tronçonné sur des supports rudimentaires pour l'élaboration des planches. Le bois est alors transporté soit en tracteur, soit en charrette tiré par des chevaux. Les maisons, les églises, les granges tout est alors construit dans ce beau matériau. La maison de nos rêve est peut être en route dans nos esprits !

     

     

     

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      L'entrée des fermes, des églises, de certains villages, de lieux culturels, se fait par l'un de ces magnifiques portails sculptés avec des formes s'entrelaçant et des motifs de la vie paysanne

     

     

     

     

    Après tout ce bois, nous roulons vers la frontière hongroise, mais c'est encore dans le bois que nous la franchissons. Une toute petite frontière (bien entendu il y en a d'autres!) sur une toute petite route. Passeports, coup d’œil rapide dans le camping car et les deux douaniers nous ouvrent la route hongroise.

     

    Nous devons être à Budapest le lendemain soir alors on roule jusqu'à la Putza vers Hortobagui. Nous dormons devant un hôpital pour oiseaux de toutes sortes. C'est une région qui ressemble un peu à la Camargue...grandes étendues de steppes coiffées par le vent, réserves d'eau, canaux, grandes maisons blanches au toits de chaume, oiseaux, chevaux...C'est très beau. Nous visitons l'hôpital des oiseaux qui fait un véritable travail pour sauver tous ces rapaces imprudents. Ils sont ici souvent victimes des voitures ou des fils électriques. C'est l’occasion d'observer de très près le regard si perçant de l'aigle et d’admirer le balai des cigognes (que l'on voit un peu partout en Roumanie).

     

     

     

    C'est un peu un cliché mais c'est chouette à voir en vrai !

    Nous sommes à Budapest que nous vous raconterons une prochaine fois.

    A très bientôt

     


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    Buna Ziua,

     

    La Roumanie nous accueille depuis une semaine. Elle égraine ses paysages printanniers pour nous donner de très belles impressions. Beaucoup moins de poubelles dans la nature même si on en trouve encore bien entendu ! Les immeubles des villes sont moins tristes qu'en Bulgarie, l'histoire du pays n'est pas la même. Nous sommes en territoire plus touristique , en tous cas pour ce début de pays.  Nous avons volontairement laissé de côté la Capitale Bucarest et son grand, que dis-je son immense palais du parlement, pour filer vers la Transylvanie et y séjourner quelques jours. C'est une région de montagnes, plantée au cœur des Carpates.

    Nous partons à l'assaut du château de Bran. Il est étrange, féerique presque. Un extérieur massif et austère contraste avec une coure intérieure remplie de recoin et de finesse.

     A l'intérieur, des escaliers partent en colimaçon dans tous les sens. Des salons, des chambres, des donjons, des sous pentes, bref un labyrinthe de marches en bois très glissantes...! Il abrita de longues années la Reine Marie de Roumanie qui y laissa une atmosphère sobre et douce.

    Salomé est invitée à peindre des œufs de pâques à la cire, travail méticuleux. Les œufs roumains sont font pleinement partis des traditions de ce pays.

    Dessus sont représentées tant des formes géométriques d'une grande complexité que des scènes de vie paysanne.

     

    Nous espérons que les Carpates veilleront longtemps sur ce beau château dont certaines façades se fissurent.

     

     La petite ville de Brasov est l'une des plus importante de la région. Elle s'étale au pied des montagnes et offre une tranquillité certaine. Nous avons la chance de tomber un jour de festival. Ici c'est 100 % roumain. On est complétement immergé dans leur ambiance et découvrons des gens d'une grande gentillesse. 

     

     

     

     

     

     

     Les montagnes nous guettent alors nous les rejoignons au cœur du parc naturel de Piatra Craiului. Ici il n'y a que des marcheurs. C'est dans cette ambiance rando que l'on se trouve un petit coin de forêt bien perdue pour passer la nuit au son du ronflement des ours... Au matin nous constatons que c'est bien la rivière qui a bercée nos rêves, les ours et les loups qui habitent cette forêt on du prendre peur devant Jojo!

    Nous randonnons dans ce magnifique parc naturel. Nous allons à la rencontre des villages de bergers de Magura et Pestera dont les maisons affichent un vert un peu pastel et des toits rouges vifs. C'est un peu une carte postale, c'est vrai. Et au détour d'un petit sentier, nos yeux s'arrêtent sur une emprunte d'ours. Oui il est passé par ici ! Et pas plus tard que cette nuit !

     

     

     

     Le temps file et nous voulons absolument monter dans le Nord de la Roumanie, alors chemin faisant nous laissons les ours et les loups et faisons vrombir le moteur de Jojo après avoir profité de Sibiel un petit village Saxon où le plein d'eau aura été le plus joyeux de nos quatre mois de voyage !

     

     

     

    En quittant la vallée, une conductrice insolite prend le volant, ce sera de courte durée, mais à renouveler !

      En Roumanie, il est une région où le temps semble s'être arrêté il y a un siècle. Nous sommes dans les Maramures tout à fait au Nord, le long de la frontière ukrainienne. La vie paysanne est riche d’activités. Les labours se font avec les chevaux, le transports du bois, de la paille, de la terre etc se fait avec les charrettes, l'herbe est coupée à la faux, la terre est binée à la main sur des étendues à perte de vue, l'eau est puisée au centre des villages, les bottes de foin faites entièrement à la main. C'est très beau à voir, les gestes sont surs, habiles et réguliers. Après l'école, les enfants viennent aider leur parents à prendre soins des bêtes et à rassembler les brebis. Mais à la vitrine des petites échoppes, sont affichées des immenses pub pour les téléphones portables. La technologie gagne du terrain et il n'est pas rare de voir les femmes, fichus sur la tête, jupe colorée aux genoux, porter un fagot de bois d'un côté et appeler leur maris d'un portable coincée entre l'oreille et trois branches de l'autre côté afin qu'il vienne en charrette les chercher.C'est un subtil mélange !

    Les roumains sont également très attachés à leur traditions et fêtent chaque année les premiers laboures. On sent que cette période est très importante pour eux.

     

     

     

    Les bottes de foin qui sèchent au soleil et restent toute l'année en plein air. Elles sont donc faites à l'aide grandes fourches.

     

     

     

     

    Les charrettes qui sont indispensables à la vie rurale. Tout se fait avec !

     

     

     

    Le cheval est donc roi dans ce pays...après l'ours !

     

     

     

    Cette région recèle aussi de très belles églises en bois. Austères d’extérieur, elles ont un intérieur très chaleureux et joyeux, empli de ces grands tissus brodés de couleurs éclatantes.

     Côté rencontres, les Maramures nous en réservent de très belles ! D'abord Gavril, sa femme et son frère qui nous accueillent les bras ouverts dans un très bon français. La soirée sera assortie d'une eau de vie à faire pâlir des bisons en short. Bien entendu nous sortons les instruments et sommes baptisés "la famille musicale" ! Gavril nous organise un petit concert dans l'école du village pour le lendemain matin, alors tout le monde au lit car il faut assurer demain.

     Nous sommes escortés par la directrice de l'école qui vient nous chercher à notre campement. L'école accueille tous les enfants du village (230 environ) qui vont de 6 à 15 ans. Ils sont tous dans le même établissement, s'entraidant, jouant ensemble, que c'est bien les âges mélangés! Nous jouons pour une cinquantaine d'enfants et leur professeurs, dont un prof de sport très enthousiaste, une prof de français très touchée par notre accent français et un prof en habit de pop très méditatif. L’ambiance est joyeuse et entrainante. Les enfants apprennent le français et sont très heureux de partager leur quelques mots et de chanter en français.

    Un jour peut être, nous vous parlerons de toutes ces petites chansons que l'on chante avec les enfants des différentes écoles...

     Merci donc à Mme Dan et à Mme Vava pour leur accueil ainsi qu'à tous les enfants. Un merci spécial aux deux jeunes courageuses qui nous ont offert un chant roumain très très beau.

     Puis il a eu Yulichka, cette petite dame de 80 ans en train de faire son potager dans son petit jardin si bien tenu derrière une clôture et un file barbelé. Pas de langue commune à part celle des signes et des expressions qui nous font comprendre beaucoup de choses. Elle nous raconte sa famille, sa foie son rejet de la Hongrie, son jardin. Nous lui racontons notre voyage. C'est un échange touchant et très joyeux. Elle a une grande beauté en elle. Nous dormons devant chez elle et promettons de lui écrire, elle doit déjà attendre....

     A l'heure où nous vous postons ces quelques lignes, nous dormons devant un vieux train à vapeur qui nous emmènera demain au cœur de la vallée complètement sauvage de Vasper.

    La revedere !

     

     


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  • Buna ziua

    Décidément que d'anticipation !

    Lorsque nous nous sommes quittés, nous étions en Bulgarie, à Véliko Tornavo exactement, alors ne sautons pas de page !

    Véliko Tornavo est une ville bien charmante qui surplombe une rivière dans tous ses états au moment de notre passage. Les orages des derniers jours et la fonte des neiges en ont considérablement augmenté le débit. A l'extrémité de la vieille ville, s'élève la forteresse qui abrita il y a fort longtemps de cela quelques tsars d'où son nom Tsarevets. Sa restauration lui a probablement retiré un peu de son charme mais sa situation géographique en fait une très chouette balade, certes un peu pluvieuse.

     

    La route bulgare nous entraine vers Roussé au bord du célèbre Danube qui marque la frontière avec la Roumanie. La ville nous accueille sous la pluie. Son air triste ne nous encourage pas à y rester et c'est dans le parc naturel de Rousenki Lom que nous nous posons pour quelques jours et retrouvons le soleil. Quelques petites merveilles y sommeillent. Nous visitons le petit Monastère rupestre de Basarbovo en ce dimanche de Pâques. Des familles entières, de dimanche vêtues, viennent allumer une bougie au cœur de ces grottes, que le vent soufflera vers les roches. Le lapin de Pâques est passé chez Jojo et dans notre jardin du moment. Nous partageons un vrai festin au bord de l'eau et faisons virevolter nos 18 cordes sous le chaud soleil de cette belle journée. Nos quelques notes sont tombées dans l'oreille d'un promeneur.Il s'approche, il veut nous écouter, la conversation s'engage et nous apprenons que toute sa famille est dans l'enseignement! Il repart pour mieux revenir! Nous voilà avec sa mère, sa grand mère et une amie, toutes enseignantes. Oui,. bien entendu nous pouvons venir jouer dans leur école. Nous recevons chacun un oeuf dur teinté que nous devons cogner deux par deux des deux côtés selon la tradition orthodoxe. Si l'oeuf ne se casse en aucun côté, la main qui le tenait sera pleine de chance durant un an. Nous les remercions de quelques notes de musique.

     

     

     

     

     

     

     

    Le soir venu, la vallée s'allume de mille couleurs. C'est le moment que l'on préfère !

     

     

     

     

    C'est à Ivanovo que nos yeux vont plonger dans des fresques aux couleurs remarquables. Au fond d'une vallée, au terme d'un petit sentier se dessinant à flanc de colline, se dresse un rocher d'une trentaine de mètres. des grottes ont creusées la roche, et offert aux hommes un lieu assez magique pour y faire une petite église. des fresques magnifiques y sont peintes à même les murs. Les couleurs entièrement naturelles ont traversées le temps, les formes des drapés y sont simples et efficaces.

    Cette vallée offre un paysage de forêts chatoyantes de verdures.

     

     

     

     

    Nous y faisons un feu en admirant les étoiles et en se laissant surprendre par des cris d'animaux bien sauvages. Au cris effrayants, si proches, nous comprenons que certains d'entre eux nous guettent... Il y a là des chats sauvages, des loups, des lynxs, des grands ducs et mêmes de très beaux martins pêcheurs que nous avons pu admirer le temps d'un bref instant.

     

     

     

    Aujourd'hui la "Mathematical school" nous attend ! Les élèves ont entre 13 et 16 ans, ils sont une trentaine et parlent un anglais parfait! Il va falloir assurer pour se présenter ! Le contact est très facile, le courant passe très bien et notre petit concert les enthousiasment. Ils font beaucoup d'anglais, beaucoup de maths, mais pas de musique ! Maïra et Salomé assurent et nous impressionnent. Puis c'est au tour de ces grands élèves de chanter. Nous leur apprenons une couplet de chanson en français, sur la Bulgarie....c'est une très beau moment, émouvant et intense. Ils donnent tout ce qu'ils peuvent et apprennent très vie. Un vrai régal. Ils nous offrent en retour un magnifique chant bulgare.

    Des liens se tissent avec certains d'entre eux qui restent pour une petite photo...(heureusement sinon nous en aurions pas, quand on joue on ne peut pas prendre de photo ! )

     

    Merci à tous ces grands grands élèves et à leur professeur de maths Mme Alexandrova. ON ne vous oubliera pas !

     

     

     

     

     

    Dans l'après midi nous traversons le pont du Danube avec 31° !  Une rive en Bulgarie, l'autre en Roumanie, une autre langue, une autre culture, une autre monnaie....

     

    Nous n'avons passé qu'une grosse semaine en Bulgarie mais ce pays nous a marqué indéniablement.

    A très bientôt

     

     


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